Je trouve les thèmes très bien choisis mais je dois bien reconnaître que je ne comprends pas tous les points (de plus, la traduction n'arrange rien car elle ne pêut faire ressortir les calembours et contrepéteries de la langue grecque) et à commencer par la nature du double amour chez Phèdre. Au contraire, chez Aristophane qui reprend à son compte la nature double de l'amour, cette séparation me paraît claire puisqu'il use du mythe de l'androgyne pour illustrer son propos. Mais Phèdre aborde un tout autre exemple qui échappe à ma compréhension : l'Amour Populaire et Céleste. Un lecteur assidu du Symposion pourrait-il m'aider ? (je n'ai pas trop le coeur à consulter d'épineux commentaires)