Le Monde Antique
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 L'Amérique du sud...

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A'legs
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MessageSujet: L'Amérique du sud...   L'Amérique du sud... Icon_minitimeDim 21 Aoû 2005 - 19:40

Prise de vue

Dans l’Amérique du Sud préhispanique, les hautes cultures se développèrent dans la partie occidentale du sous-continent et principalement dans les régions dites andines qui incluent les basses terres bordant l’océan Pacifique. Ces régions andines s’étendent sur plus de 4 000 kilomètres de longueur depuis le rivage caraïbe jusqu’à l’île de Chiloé (où commencent, dans le sud du Chili actuel, des territoires presque inhabités encore de nos jours). Elles présentent une infinie variété de paysages et de milieux naturels depuis les déserts arides jusqu’aux forêts équatoriales, en passant par les vallées et les hauts plateaux des cordillères. Ces environnements ont souvent influencé l’évolution des divers groupes culturels préhispaniques qui s’y établirent. Quelques-uns purent exploiter des territoires assez uniformes mais riches, où ils se procuraient la majorité de leurs moyens de subsistance. D’autres, en revanche, occupèrent plusieurs milieux naturels voisins, différents et complémentaires. D’autres encore durent mettre en valeur leurs territoires en les transformant ou en y cultivant des plantes alimentaires souvent hybridées à partir d’espèces d’origine sauvage.

Ce n’est que pour les groupes culturels contemporains de la conquête espagnole que des sources écrites, rédigées par les chroniqueurs espagnols et par des descendants acculturés de ces Amérindiens, apportent quelques observations directes. Avant cette période de contact, l’écriture n’existait pas dans les Andes, et ces civilisations n’ont laissé que des vestiges artistiques et domestiques. Seule l’archéologie, par les fouilles et par l’étude des collections, peut nous restituer partiellement leur mode de vie.

L’archéologie des pays andins est très récente par rapport aux archéologies dites classiques ; elle ne s’est développée qu’au début du XXe siècle, et les fouilles sont loin de couvrir également toutes les régions ou toutes les périodes. Cependant, malgré les différences qui subsistent encore dans le développement des recherches dans chacun de ces pays, on peut aujourd’hui proposer une succession d’étapes chronoculturelles communes à ces diverses régions.

Toutefois, au milieu de ces étapes communes existent des phases culturelles particulières, comme dans les Andes centrales, qui regroupent plusieurs périodes d’unification culturelle sans équivalents connus pour les autres régions andines.

Pour étudier ces développements, les archéologues ont adopté des subdivisions chronoculturelles mais aussi géoculturelles, en tenant compte des grandes unités naturelles du monde andin. On distingue ainsi les Andes septentrionales, qui correspondent à la majeure partie de la Colombie actuelle, les Andes équatoriales, incluant le territoire de l’Équateur et une partie de l’extrême nord du Pérou, les Andes centrales, constituées par le reste du Pérou, les Andes circumlacustres des altiplanos péruvo-boliviens du lac Titicaca et les Andes méridionales englobant le sud de la Bolivie, le nord-ouest de l’Argentine et le nord du Chili. Au-delà, dans l’extrême Sud, les groupes amérindiens, essentiellement prédateurs, n’entrent pas dans le cadre des civilisations qui s’épanouirent après la néolithisation.


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A'legs
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MessageSujet: Re: L'Amérique du sud...   L'Amérique du sud... Icon_minitimeDim 21 Aoû 2005 - 19:40

La néolithisation et la période formative

Ces périodes, marquées par la sédentarisation des groupes humains à la fin de la période pré-céramique n’apparaissent pas toujours aussi clairement dans toutes les régions andines. Dans les Andes du Nord et équatoriales (dont la synthèse archéologique qui ne débute qu’au milieu des années soixante est moins approfondie que celle des Andes centrales), il subsiste d’importantes lacunes dans les diverses chronologies régionales. Les restes archéologiques de ces premiers groupes sédentarisés y sont bien plus infimes que les vestiges des constructions des époques plus tardives. Il est aussi souvent plus difficile de les repérer que les gisements pré-céramiques qui correspondent à une stratégie d’établissement bien connue à présent. Si les sites des premiers sédentaires n’ont pas été réoccupés ou s’ils ne recouvrent pas des habitations antérieures, leur localisation demeure bien aléatoire.
Dans les Andes du Nord, après la période pré-céramique (surtout représentée par des sites des hautes terres de l’intérieur, en particulier sur le haut plateau près de Bogotá), on trouve les premiers signes de cette période de néolithisation sur le littoral caraïbe. Formés principalement d’amas de coquilles, ces sites sont les plus anciens vestiges de sédentarisation associés à une céramique. Ces groupes côtiers inventèrent d’abord la poterie (vers 3500-3000 av. J.-C.) avant d’adopter beaucoup plus tard l’agriculture (vers 1000 av. J.-C.). La diversité de ces premières céramiques (Monsu, Puerto Hormiga, Canapote, Puerto Chacho) indiquerait des développements assez indépendants sur chacun des sites. Cette céramique n’est pas qu’utilitaire : divers motifs incisés ou modelés forment une décoration, géométrique et parfois figurative, qui témoigne d’un réel souci artistique.

Sur la côte caraïbe, l’horticulture généralisée ne viendra s’ajouter aux activités de prédation (cueillette, chasse et pêche) que plus tard, bien que certains chercheurs estiment que les débuts de l’horticulture pourraient remonter au Ve millénaire avant J.-C. Des racines comestibles, comme le manioc, furent d’abord cultivées en raison de leur meilleure adaptation au milieu tropical humide que les céréales. À Momil, principal site de référence sur la côte caraïbe, la culture du manioc est attestée dès 1000 avant J.-C. environ, mais son introduction y est sans doute plus ancienne. Dans une seconde phase, plus tardive, vers 200 avant J.-C., le maïs apparaît, peut-être à la suite de contacts avec la Mésoamérique. Pour certains spécialistes de cette période, le maïs joua alors un rôle capital dans l’évolution de ces sociétés d’agriculteurs. Il permit de produire beaucoup plus aisément d’importants surplus faciles à conserver. Il favorisa en outre la diffusion de ces populations vers l’intérieur du pays, où se trouvaient des terres bien drainées, propices à sa culture.
Sur la côte centrale de l’Équateur, sur le site de Vegas, au moins depuis 2500 avant J.-C. (peut-être depuis 6000 B. P. selon les phytolithes), des groupes humains qui ne sont pas encore céramistes pratiquent déjà l’horticulture (maïs) en complément de la chasse, de la pêche et de la cueillette. Vers 3000 avant J.-C., au début de la période formative, les céramistes de Valdivia ne présentent pas tous la même évolution économique : certains dépendent encore beaucoup d’activités prédatrices (pêche, chasse et cueillette), alors que d’autres produisent déjà par l’agriculture l’essentiel de leur alimentation.

Ces groupes de la culture Valdivia ont une économie qui unit divers types d’établissements à travers des rapports de complémentarité : de là naissent, peut-être, les transformations successives du principal site de cette époque, Real Alto. Petite agglomération au départ, Real Alto devint un grand centre cérémoniel commun à plusieurs villages satellites voisins.
La céramique Valdivia n’est peut-être pas la plus ancienne céramique américaine, car le débat reste ouvert sur la datation précise de l’apparition des premières céramiques des régions équatoriales et caraïbes. Mais c’est, sans nul doute, celle qui nous a laissé les plus anciens témoignages d’art plastique de toute l’Amérique. Ses figurines féminines en céramique (souvent appelées Vénus) sont de petite taille, de l’ordre d’une dizaine de centimètres. Parfois, un engobe rouge sombre recouvre tout le corps, seul ornement avec la coiffure, représentée par de fines incisions. Certaines, très rares, possèdent toutefois des détails plus précis : par exemple un ventre proéminent qui représente peut-être une grossesse ou encore deux têtes jumelles accolées sur un même corps.

Après la culture Valdivia, la culture Machalilla correspond, entre 2250 et 1300 avant J.-C., à la période du Formatif moyen de la région équatoriale. Beaucoup moins bien connue, son influence culturelle est cependant importante et son rayonnement dépasse de loin les étroites limites géographiques de la culture Valdivia.

Vers 1300 avant J.-C., une nouvelle culture formative, Chorrera, prend le relais de celle de Machalilla : cette nouvelle tradition semble être davantage un amalgame de cultures de tous les groupes peuplant alors la région équatoriale. Plusieurs styles caractérisent cette céramique du Formatif final ; elle est présente non seulement dans la région côtière, mais aussi à l’intérieur des terres. Elle atteint un niveau d’expression artistique qui sera rarement égalé par la suite et atteste de techniques de fabrication parfaites.

À côté de récipients aux formes fonctionnelles, la céramique Chorrera produit des vases zoomorphes ou phytomorphes qui traduisent l’attention portée par ces artistes à leur environnement. En outre, d’admirables figurines, en céramique elles aussi, reproduisent des personnages, le plus souvent debout, dans une attitude hiératique.
Au cours de cette période du Formatif final, les groupes s’organisent en chefferies complexes qui forment la base de l’organisation sociopolitique dans les Andes équatoriales.

On reconnaît différents styles chorreroïdes qui démentent l’unité naguère supposée de la culture Chorrera. Cette variété des styles de la céramique se relie toutefois à une même tradition culturelle, très visible dans la technologie. Entre 500 et 300 avant J.-C., ils donneront à leur tour naissance à de nouveaux styles régionaux, parfaitement différenciés entre eux. Si cette filiation est claire pour les régions les mieux connues (la côte en particulier), l’apparition de ces styles régionaux marque cependant, dans la chronologie des Andes équatoriales, la fin de la période formative tardive.

Si les données chronoculturelles sur les Andes du Nord et équatoriales présentent une certaine analogie pour les périodes pré-céramique et formative, celles qui concernent les Andes centrales (beaucoup plus étudiées, il est vrai) montrent qu’elles ont connu une évolution différente. Les datations obtenues pour les premières traces attestées d’horticulture dans les Andes centrales sont antérieures, parfois de plusieurs millénaires, à celles qui ont été obtenues dans les Andes septentrionales et équatoriales. On y observe également des développements séparés pour les groupes humains de la sierra et ceux de la région côtière.
La sierra présente les traces les plus anciennes de cette néolithisation : vers 6800-6200 avant J.-C., puis vers 5700 avant J.-C., deux variétés de haricots y sont cultivées (site de Guitarrero). Un peu plus tard, vers 5500-4300 avant J.-C., la culture des courges et des calebasses est attestée dans le bassin d’Ayacucho. Le maïs apparaît en divers points de la sierra entre 5500-4000 avant J.-C. Dès 4000 avant J.-C., l’élevage du lama est attesté dans la sierra mais les premières domestications pourraient remonter au VIe millénaire avant J.-C.

C’est donc avant le Ve millénaire que se produit le passage à une économie de production dans les endroits les mieux connus et, sans doute, les plus favorisés de la sierra. Sur la côte, la culture de la courge, de la calebasse et du coton apparaissent vers 3000 avant J.-C., suivies peu après par celle du maïs. Le haricot (cultivé dès 3250 av. J.-C. à Chilca) ne devient fréquent sur les sites côtiers qu’à partir de 2500 avant J.-C. C’est aux environs de cette date que s’établit une production agricole côtière associée au développement des premiers centres urbains (Aspero, Río Seco, El Paraiso). Ceux-ci montrent déjà une diversité de modèles urbanistiques : bourgs ou villages habités (Culebras), grands ensembles publics ou cérémoniels (Aspero, Río Seco, Bandurria, Los Gavilanes).

En revanche, dans la sierra, de tels centres apparaissent un peu plus tardivement, vers 2000-1500 avant J.-C. (sites de Kotosh, Shillacoto, Huaricoto, La Galgada ou Piruru). Cette première architecture monumentale semble être étroitement liée, dans certains de ces centres, aux pouvoirs politiques et religieux qui contrôlent alors une population composée d’agriculteurs.

La période formative débute vers 1800 avant J.-C. alors que de très nombreux groupes humains sont déjà sédentarisés. Leur économie associe aux anciennes pratiques prédatrices de chasse, de pêche et de cueillette des techniques de production : agriculture et élevage, mais aussi tissage, puis céramique. Au fil des siècles, ces techniques se perfectionneront, en particulier grâce à la sélection des plantes alimentaires, fondamentale dans les Andes centrales en raison des contraintes climatiques dues aux altitudes élevées de la sierra ou à l’aridité de la côte. Avant même l’apparition de la céramique, les groupes des Andes centrales réalisaient des tissus, d’abord sans métier à tisser, puis de textiles faits au métier. Parmi les plus anciens témoignages d’expression artistique, des calebasses gravées, découvertes sur la côte centrale à Huaca Prieta, montrent une certaine ressemblance avec les décors de la céramique Valdivia.

Vers 1800 avant J.-C., la céramique fait son apparition dans les Andes centrales : les plus anciennes poteries connues montrent de fortes analogies formelles avec la vannerie (phase Wayra Jirka de Kotosh).
Entre 1800 et 800 avant J.-C., dans les hautes terres de la sierra apparaissent divers styles de cette céramique initiale, associés à des sites architecturaux, d’abord dans le nord (Pacopampa, Huacaloma, Vesopampa, Urabarriu), puis, plus tard, dans le Sud (Waywaka, Marcavalle, Chiripa). Sur la côte, ces styles initiaux sont principalement concentrés au nord et au centre, et souvent associés à des centres cérémoniels (Guanape, Las Haldas, Caballo Muerto, Garagay, Curayacu). Mais on retiendra surtout les styles, un peu plus tardifs, de Cupisnique et de Chavín, datant de la fin du Formatif.

Vers 1200 avant J.-C. selon la chronologie la plus longue (mais seulement vers 850 avant J.-C. selon une chronologie plus courte), Chavín de Huantar , dans la sierra nord du Pérou, devient un pôle culturel de toute première importance. Le rayonnement de cette culture Chavín marquera l’ensemble des Andes centrales pendant cette dernière partie de la période formative. Le vaste centre cérémoniel de Chavín diffuse alors son influence et étend son hégémonie dans les Andes centrales, unifiées pour la première fois sous le contrôle d’un puissant système théocratique.
L’art de Chavín s’exprime surtout dans la sculpture et dans la céramique. Les décors, gravés sur la pierre, modelés ou incisés dans l’argile, montrent des créatures mythologiques qui associent des traits humains à des traits animaux. Un réseau de lignes courbes enchevêtrées allie des crocs et des griffes de félin, des volutes serpentiformes ou encore des becs acérés à des éléments humains. L’imbrication de ces motifs en rend parfois la lecture difficile. On reconnaît toutefois clairement au milieu de ces motifs la divinité principale de Chavín, mi-humaine mi-féline, parfois associée à des divinités secondaires, elles aussi anthropo-zoomorphes. Pendant de longs siècles, Chavín imposera le culte de ses dieux et son hégémonie aux populations des Andes centrales : jusqu’aux limites nord du Pérou et sur la côte sud, on retrouve les images de ses divinités reproduites sur la poterie. Vers 400-200 avant J.-C., le temple de Chavín est en partie détruit. Le grand centre cérémoniel semble être abandonné et, partout dans les Andes, les styles dérivés de Chavín déclinent, sans doute en même temps que les pouvoirs de son clergé.

L’unification culturelle de Chavín est remplacée par une diversification des cultures qui caractérisent la période des Développements régionaux.
Dans les Andes méridionales, la période formative ne revêt pas la même importance. Elle se limite à l’apparition, beaucoup plus tardive, d’une céramique qui ne correspond pas à une phase initiale au Chili (phase El Molle) et dans le Nord-Ouest argentin (phase Condorhuasi). Toutes les deux semblent reliées aux phases Chiripa et Qalayu du Formatif final des Andes centrales et circumlacustres. Une phase culturelle du Nord-Ouest argentin, Alamito, plus tardive, mérite une attention particulière : sa sculpture en pierre, aux formes très modernes, demeure sans équivalents dans les Andes.


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A'legs
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MessageSujet: Re: L'Amérique du sud...   L'Amérique du sud... Icon_minitimeDim 21 Aoû 2005 - 19:51

Bon, je vous préviens tout de suite; j'ai passé 1/4 d'heure à faire une mise en page mais c'était tellement long qu'il m'a tout effacé...
Ensuite j'ai réessayé en raccourcissant, mais c'était toujours pas assez; j'ai perdu la fin du texte et je la retrouverais pas avant demain :p Voici une corde...
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Ramsès
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MessageSujet: Re: L'Amérique du sud...   L'Amérique du sud... Icon_minitimeDim 21 Aoû 2005 - 19:55

oh là là, vive les pc (tu peux le balancer par la fenêtre, c'est pas interdi) Attention balancer le pc par la fenêtre peut entrainer la perte du pc (ou d'un membre si un personne est juste en dessous de la fenêtre)
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Tanit
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MessageSujet: Re: L'Amérique du sud...   L'Amérique du sud... Icon_minitimeDim 21 Aoû 2005 - 23:25

Hou la !! il va falloir imprimer C'est copieux !!
Superbe travail Alex thumright
T.
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MessageSujet: Re: L'Amérique du sud...   L'Amérique du sud... Icon_minitimeDim 21 Aoû 2005 - 23:32

Ah c'est gentil, mais sans mise en page, je ne garantie pas que vous ne vous assoupissiez pas!! Nefertiti
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Tanit
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MessageSujet: Re: L'Amérique du sud...   L'Amérique du sud... Icon_minitimeDim 21 Aoû 2005 - 23:55

Et tu nous la refait quand cette mise en page ? Laughing
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MessageSujet: Re: L'Amérique du sud...   L'Amérique du sud... Icon_minitime

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