Le Monde Antique
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 quelques legendes Egyptiennes

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Demeter
Périèque de Messine
Demeter


Féminin Nombre de messages : 43
Date d'inscription : 20/07/2007

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MessageSujet: quelques legendes Egyptiennes   quelques legendes Egyptiennes Icon_minitimeDim 16 Sep 2007 - 11:41

la legende du Sphinx et de Thoutmosis

Entre les deux pattes du grand sphinx de Gizeh, se trouve une stèle qui relate un rêve de Thoutmosis IV justifiant son accession au trône d'Egypte. L'histoire nous raconte comment, un jour, le jeune prince Thoutmosis vint se reposer à l'ombre du sphinx de Gizeh, après une longue partie de chasse dans le désert. Fatigué, il se laissa gagner par un sommeil profond. C'est alors que le dieu Harmakhis lui apparu en songe et lui dit :

"Regarde-moi et admire-moi, ô mon fils Thoutmosis ; c'est moi ton père, Harmachis-Khepri-Rê-Atoum. Je te donnerai la royauté sur terre à la tête des hommes ; tu porteras la couronne blanche et la couronne rouge sur le trône de Geb, l'héritier des dieux. Le pays t'appartiendra dans sa longueur comme dans sa largeur, ainsi que tout ce qu'éclaire l'oeil brillant du Maître Universel. Les nourritures provenant des Deux Terres seront pour toi ; pour toi, également, les imposants tribus de chaque pays étranger ; pour toi, encore, une très longue durée de vie. Mon visage se tourne vers toi, ainsi que mon coeur ; tu es mon protecteur et mon guide. Mais, regarde, mon état est celui dun homme qui souffre car le sable du désert sur lequel je me dresse se rapproche de moi chaque jour un peu plus. Aussi, approche-toi de moi afin que tu puisses accomplir tout ce que je désire."

Ainsi, Thoutmosis fit désensabler le sphinx. En échange, Harmachis lui fit don du trône.

les yeux d'Horus

Pour les égyptiens, le ciel possèdait deux yeux : le soleil est l'oeil droit d'Horus (puis de Rê), la lune est l'oeil gauche.
L'oeil indépendant quittait parfois Rê pour lutter contre les ennemis de celui-ci. Mais un jour, revenant d'un combat, il constate qu'un autre l'a remplacé. Pour apaiser son courroux, Rê le transforma en uraeus qu'il pose sur son front.

L'oeil gauche d'Horus représente la lune et plus spécialement la bataille qui opposa Seth et Horus. Seth arracha l'oeil gauche d'Horus qui fut retrouvé et remplacé grâce à Osiris. Dès lors, on considéra qu'Horus possédait la lune comme oeil gauche et Rê comme oeil droit.



Hatchepsout ,femme pharaon

Rares furent les femmes de la famille royale qui devinrent pharaon mais Hatchepsout, fille de Touthmosis Ier et première épouse de son demi-frère Touthmosis II, fut l'une de ces figures exceptionnelles. Elle donna une fille à Touthmosis II mais pas de fils ; aussi, Touthmosis II étant mort jeune, le titre de roi passa-t-il au fils de l'une de ses épouses secondaires.


Hatchepsout ne remplaça cependant pas Touthmosis III qui régna à ses côtés. Ce fut un temps de prospérité pour l'Egypte, et Hatchepsout commanda de nombreuses constructions (dont un superbe temple à Louxor, voir illustration ci-dessous) ; elle organisa également d'importantes expéditions commerciales et des campagnes militaires.


Après 22 ans de règne partagé, Touthmosis se retrouva seul sur le trône, vraisemblablement par la mort d'Hatchepsout. Beaucoup plus tard (son règne dura 54 ans), Touthmosis entreprit de faire mutiler les monuments d'Hatchepsout, apparement pour effacer toute trace de sa royauté. On a pu penser que la seule motivation du pharaon était la haine mais une autre raison est possible : pour la plupart des Egyptiens, qu'une femme devint pharaon était contraire à l'ordre naturel (imaginez donc, 3400 ans plus tard, nous commencons à peine à admettre que nous puissions être dirigés par une femme...). Voyant approcher sa fin, Touthmosis a pu vouloir, en effaçant la mémoire du pharaon Hatchepsout, empêcher qu'une autre reine accède au trône. Hypothèse d'autant plus crédible que son nom et son image n'ont pas été martelés sur les monuments qui représentent Hatchepsout en simple épouse royale.

la legende de Sesostris

Pendant la basse Antiquité, les prêtres égyptiens aimaient à raconter à leurs visiteurs grecs ou romains les fabuleux exploits du pharaon Sesostris. Ses conquêtes, était-il raconté, allaient des profondeurs de l'Afrique au Proche-Orient, voire jusqu'en Scythie (le sud-ouest de l'actuelle Russie), et nul autre conquérant ultérieur, pas même Darius Ier de Perse, ne put les reprendre.

Cette image de Sesostris est manifestement un amalgame de plusieurs pharaons guerriers de l'histoire égyptienne.En dernière analyse cependant, elle remonte au trois pharaons de la XIIe dynastie nommés en égyptien Senouosret. Les affaires étrangères occupèrent une bonne part de leur règne. Sesostris Ier repoussa les frontières sud de l'Egypte et lança des incursions contre les Lybiens. Sesostris II développa les échanges commerciaux avec la Nubie et les Etats d'Asie occidentale. Sesostris III fit personnelement campagne en Asie. Depuis le cordon de forts commencé par ses prédécesseurs sur la frontière méridionale et achevé par lui, il se livra à de nombreuses avancées en Nubie. Apparemment, il obtint assez de succès au cours de ces expéditions pour se gagner durablement, dans le Sud, la réputation d'un dieu.

Déjà déifié à la fin du Moyen Empire, Sesostris III recevait encore un culte de la part de ses grands successeurs, les grands pharaons guerriers des XVIIIe et XIXe dynasties, y comprit Touthmosis III et Ramsès II (dont les hauts faits contribuèrent de plus belle à la légende de Sesostris). Le récit vivant et personnel que Senouosret III a fait de ses exploits survit sur une tablette de pierre, spécialement commandée par le roi pour les immortaliser.



la fete de Sed

La fête Sed est traditionnellement célébré par Pharaon lors de la 30e année de son règne. Pharaon a vieillit : il est temps de renaître, et de se réapprovisionner en puissance, en force physique et spirtuelle. Néanmoins, le Heb Sed peut être célébré avant les 30 années, pour réaffirmer et asseoir le pouvoir.

Il s'agit durant la fête Sed de s'attirer la grâce des dieux, et de prouver la liaison de Pharaon avec les dieux, en tant qu'intermédiaire entre ces derniers et les sujets des Deux Terres d'Égypte. Le Pharaon est tout puissant : il faut lui assurer puissance, gloire et prospérité, et conserver l'équilibre Bien/Mal, le principe de Maât.

Le Jubilé est organisé à Memphis, lieu de couronnement des Pharaons. Durant le Heb Sed, on construit quatre pavillons (les "maisons de millions d'années"), auxquels on accède par quatre escaliers orientés vers les quatre points cardinaux. Sur chacun d'entre eux, une représentation de Pharaon portant le double-couronne trône. Les célébrations sont complexes et strictement rythmées par des "épisodes". Au premier jour de Peret, la saison de la germination, le Heb Sed commence. Les eaux se sont retirées. Le premier jour est fixé en fonction de la périodicité éternelle (du cycle infini).

Le premier matin, on errige un obélisque en l'honneur de Ptah, symbole du pilier Djed, tandis que Pharaon est assimilé à Osiris. Une procession où prennent part Pharaon, les statues des dieux ainsi que certains hauts fonctionnaires s'avance alors. Puis Pharaon s'avance successivement sur deux pavillons élevés à l'aide des escaliers. Sur chacun d'eux, il se coiffe de la couronne de Haute-Égypte, puis de celle de Basse-Égypte, ainsi que du fléau et de la crosse. Ensuite, on le transporte dans deux grands paniers, symbolisant les "litières royales" de Haute et Basse Égypte. Pharaon est enveloppé d'un manteau qui lui offre des "millions d'années" et le régénère de manière physique. La nourrice d'Horus, Sekhat-Hor offre son lait divin à Pharaon, en lui offrant vie et longévité. Puis Pharaon effectue des allées et venues rituelles, et entre dans "la cour des grands", pour effectuer le culte des dieux locaux dans leur naos (constitué de roseau aux époques archaïques). Les personnalités importantes viennent ensuite offrir des offrandes, gage de leur fidelité à Pharaon. Enfin, Pharaon fait le tour d'un champ en tenant l'imyt-per, symbolisant la possession du territoire égyptien. À partir de l'Ancien Empire, il tire quatre flêches vers les points cardinaux pour éloigner les forces du chaos.



la fete d'Opet

La fête d'Opet était une des plus somptueuses processions nautiques qui se déroulait à Karnak. Attestée pour la première fois sous le règne d'Hatchepsout, cette procession s'est maintenue jusqu'à la XXVe dynastie. Organisée tous les ans à la fin de l'été, elle célébrait la visite du dieu Amon, du temple de Karnak au temple voisin de Louxor. À Karnak, un ensemble exceptionnel de bas-reliefs, long d'environ 26 mètres, et datant des règnes de Toutânkhamon et de Séthi Ier, illustre les déplacements de la barque, de Karnak à Louxor et retour, ainsi que les cérémonies qui se déroulaient à l'extérieur des temples.

Tandis qu'un cortège de prêtres portait les barques sacrées jusqu'au Nil, des danseurs, chanteurs, acrobates, musiciens animaient la fête devant la population locale et des militaires rassemblés sur le parcours. Arrivées sur la rive du fleuve, les barques étaient déposées sur de véritables bateaux dont le plus grand s'appelait Ouserhet (« proue puissante »), qui accueillait la barque d'Amon. La coque de l'Ouserhet était dorée, avec ses scènes peintes figurant le roi devant le dieu. La tête de bélier d'Amon, parée de colliers et de somptueux pectoraux, ornait la proue et la poupe. Après l'embarquement de la statue du dieu, le bateau était halé vers le sud, à contre-courant, par des équipes de mariniers.

Aujourd'hui encore, il y a une survivance de la fête d'Opet à travers la fête musulmane d'Abou Haggag, célébrée tous les ans à Louxor : les festivités culminent en un cortège de petits bateaux promenés en procession autour de l'enceinte du temple de Louxor.



Knonsou le guerisseur

La princesse de Bakhtan (en Syrie), tomba un jour gravement malade. Son mari dépêcha à son chevet les plus grands médecins de Bakhtan ainsi que des régions avoisinantes. Aucun d'entre eux ne réussit à inverser le terrible sort qui pesait sur les épaules de la jeune femme. En désespoir de cause, le souverain se décida à demander de l'aide au beau-frère de sa femme, le souverain en chef de l'Egypte : Ramses II. Celui-ci lui envoya une statue bienfaisante de "Khonsou-qui-réalise-ses-desseins, le grand dieu qui chasse les démons errants" dans un char sous bonne escorte.

Après un long voyage, la statue arriva enfin à Bakhtan où le prince la placa au chevet de sa femme et où les prêtres envoyés avec la statue remplirent leur office. Par la suite, l'esprit mauvais s'en alla, apaisé, à l'endroit où Khonsou le voulut. Le prince se réjouit beaucoup en compagnie de tous les habitants de Bakhtan, heureux de voir leur princesse sauvée.

Puis le prince se mit à réfléchir en ces termes : "Je vais faire en sorte que ce dieu reste à Bakhtan, je ne le laisserai pas rentrer en Egypte". La statue de Khonsou passa donc 3 ans, 4 mois et 5 jours à Bakhtan.

Le prince qui était alors en train de dormir, vit Konsou venir à lui sous la forme d'un faucon d'or qui s'éleva ensuite dans le ciel en direction de l'Egypte. Le prince de Bakhtan s'éveilla ainsi dans la terreur et s'adressa en ces termes au prêtre de Khonsou qu'il avait fait mandé : "ce dieu qui est ici parmi nous doit repartir pour l'Egypte, et que son char reparte lui aussi !". Le prince renvoya donc la statue dans sa contrée natale après l'avoir comblée de présents.

Récit tiré d'une stèle du temple de Khonsou à Karnak



la satire des metiers

Un texte célèbre datant du Moyen Empire et connu sous le nom de la Satire des métiers, entendait encourager l'apprenti scribe à considérer sa profession comme la meilleure de toutes. En faisant ressortir les défauts présumés des autres métiers, la Satire nous livre des détails fascinants sur la vie des artisans égyptiens. Le passage qui suit en donne un aperçu :
« [Le scribe apprenti] est [encore] un enfant [mais] il est traité avec respect. On l'envoie en mission et, avant de rentrer, il se drape dans un pagne.

« Je n'ai jamais vu envoyer en ambassade un sculpteur, ni un orfèvre.
« J'ai vu le forgeron au travail à la gueule de son four : ses doigts sont comme de la peau de crocodile et il sent plus mauvais que le frai de poisson.
« Tout charpentier qui travaille de l'herminette est plus las que les laboureurs dans les champs. Son champ, c'est le bois, et sa houe, le ciseau. Il n'y a jamais de fin à sa tâche, et il s'active au-delà de ce que ses bras peuvent supporter [...].
« Le joaillier perce soigneusement
toute sorte de pierre dure. Il achève l'incrustation d'un oeil ; ses bras sont fatigués et il est las. Il reste assis au crépuscule, les genoux et le dos crispés [...].


« Le potier est sous terre alors qu'il compte parmi les vivants. Il fouille la boue, davantage qu'un porc, pour pouvoir cuire ses pots. Ses vêtements sont raides de terre, son pagne est en lambeaux. L'air qui entre dans ses narines est brûlant parce que sortant du feu. Il piétine [l'argile] avec ses pieds et s'en trouve lui-même écrasé. »


la clé des songes

On sait que les égyptiens était friands des interprétations de leurs rêves. Ils allaient pour ça consulter des magiciens ou des prêtres spécialisés. Certains d'entre eux ont laissés des traçes écrites particulièrement intéressantes comme l'interprétation ci-après, extraite du papyrus Chester Beatty III (époque ramesside : v. 1292-1075 av. J.-C.) :

Si, en rêve, un homme se voit en train d'abattre un boeuf de sa main, bien : cela signifie qu'il tue son adversaire.

Manger du crocodile, bien : cela signifie agir comme un fonctionnaire avec ses subalternes.

Plonger dans le fleuve, bien : cela signifie se purifier de tout mal.

Enterrer un vieillard, bien : cela signifie prospérer.

Travailler la pierre chez soi, bien : cela signifie établir un homme chez soi.

Voir son visage dans un miroir, mal : cela signifie nouvel épouse.

Chaussé de sandales blanches, mal : cela signifie errer sur terre.

Forniquer avec une femme, mal : cela signifie deuil.

Etre mordu par un chien, mal : cela signifie que l'on sera envoûté.

Voir son lit prendre feu, mal : cela signifie chasser sa femme.
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MessageSujet: Mythe de la création osirien^^   quelques legendes Egyptiennes Icon_minitimeVen 23 Nov 2007 - 23:38

Sans que je sache pourquoi, c'est l'un de ceux que j'affectionne le plus...peut-être car il est l'un des premiers que j'ai découverts...

LE MYTHE DE LA CREATION OSIRIEN

Le mythe d'Osiris est au coeur de la religion pharaonique. Ce récit forgé dans les temps les plus anciens nous a été rapporté par un écrivain grec, Plutarque.

L’histoire de l’Egypte commence avec Atoum, le soleil. Il s’était créé lui-même en sortant du grand océan primordial, le Noun. Atoum créa Shou, divinité de l’air et Tefnout, divinité de l'humidité et des nuages. Shou et Tefnout formèrent le premier couple divin. Sur ordre de Rê jaloux, Shou sépara Geb et Nout (la terre et le ciel, deuxième couple divin) pour mettre fin à leur étreinte.

Nout et Geb eurent deux fils, Osiris et Seth, et deux filles, Isis et Nephtys. Osiris fut le premier pharaon et régna avec son épouse Isis dans la paix et la sagesse. Osiris, le dieu-roi et homme, était d'une sagesse et d'une bonté sans limite. Il réunit les tribus nomades, leur enseigna l'irrigation pour repousser les limites du désert, la culture du blé pour en faire de la farine et du pain, de la vigne pour en faire du vin, de l'orge pour en faire de la bière, l'extraction des métaux et leur travail.

Avec l'aide de Thot, il leur enseigna l'art de l'écriture et du dessin. Sa mission accomplie, il laissa sur le trône sa compagne Isis et partit pour l'Orient (plus précisément la Mésopotamie) pour continuer son instruction par delà les frontières.
A son retour, Seth, jaloux de la gloire de son frère, mis au point un piège. Lors d'un banquet divin, il promit d'offrir un merveilleux sarcophage à la divinité la plus à l'aise à l'intérieur. Les dieux l'essayèrent. Naturellement, fabriqué aux dimensions du dieu vert (Osiris), celui-ci s'y sentit particulièrement bien. Seth en profita pour l'enfermer dans le sarcophage et le jetta au fleuve.
Osiris se noya et Seth put alors asseoir sa domination sur le double pays. En apprenant qu'Isis recherchait le corps de son époux, il entra dans une rage folle, découpa le défunt en quatorze morceaux et le dispersa à travers toute l'Égypte.
Isis, boulversée de douleur, partit à la recherche de son époux bien-aimé. Aidée par une inspiration divine, elle réussit à retrouver tous les morceaux exceptés le phallus avalé par un poisson indélicat. Abattue Isis pleura et par miracle (et avec l'aide d'Anubis) elle lui rendit le souffle de la vie et ses moyens sexuels.

Osiris monta alors au ciel mais laissa un fils Horus. Devenu adulte et après une longue lutte incertaine, Horus réussit à renverser définitivement Seth. Il se vit reconnaître le trône d’Egypte et reprit l’œuvre de son père. Ainsi Osiris se retira à jamais dans les ténèbres et devint le souverain du royaume des morts, Seth se vit attribuer la part sombre du monde et Horus le trône d’Egypte.
Horus devint ainsi le premier pharaon d'Egypte. Ses descendants, les pharaons, font précéder leur nom par un nom appelé nom d'Horus d'or marquant ainsi cette lignée divine.

(hé oui, je sais, c'est détaillé, mais bon, j'affectionne les détails et les anecdotes et c'est déjà trop tard pour me changer^^....c'est pas pour autant que je sais pas résumer :p)
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nidor
Pirate de Cnide
nidor


Masculin Nombre de messages : 324
Age : 33
Date d'inscription : 24/02/2007

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MessageSujet: Re: quelques legendes Egyptiennes   quelques legendes Egyptiennes Icon_minitimeLun 26 Nov 2007 - 23:04

thumright
Super ! J'ai du arrêter avant la fin, mais je sais que c'est là si j'en ai envie.
Bon boulot.
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MessageSujet: Re: quelques legendes Egyptiennes   quelques legendes Egyptiennes Icon_minitime

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