Un texte venu du fond des âges pour apprendre la mythologie :
Chant premier
Pénélope enée d'oreste héra sis
Que je vous archonte ulysse troie.
Nous phéniciens de déjanire,
Il n'était pas tartare,
Encore était titan que cela phénix !
Je m'étais borée d'homère encelade,
Et peu s'en phallus que je n'eurotas
Tant je sentais l'éros
Se rebellérophon de mon estomac.
Somme toute, j'étais achéron...
Chant second
J'étais vénus à Pâris pour faire la fête.
Fallait voir comme j'ai thémis !
J'avais ma casquette à hellespont,
Un nœud gordien, un colchique,
Et je tenais mon styx à pomone d'hécate
J'avais pluton l'air d'un aristote
Que d'un pelée !
Chant troisième
J'allais rendre visite amathonte
Je frappe à sa cambyse... Pan !... Pan !...
Atrée ! dit-elle.
J'atrée... Égérie car j'arrivais fort atropos.
Elle était anchise persée en train d'uranie.
Elle se leva et gynécée comment elle cypris,
Mais après un paphos sur dédale numide,
Alphée le grand icare et je lui ai vulcain.
Il n'est pas aphrodite,
Il est pollux et apollon
Et je crois même qu'elle circé poils,
Afin qu'ils narcisse.
Ce n'est pas vraiment la toison d'or !
Chant quatrième
La voyant cybèle, je tombe à ses junon
Je commence par des pattes d'arachnée
Puis j'illyssus lycaon
Hélène énée qu'elle a vénus
Car j'avais mis ses jupiter.
Chant cinquième
Alors je tityre mon dardannus
Qui satyre d'une bellone sans qu'on léda.
Dès qu'elle le voit elle s'écrie :
" Qu'il érèbe ! Phédon !"
On se met thalie, je l'euterpe à bras-le-corps
Et d'un seul coup je la chloé.
Je pousse, il faut cassandre ou calchas.
Télémaque ! L' atrée oreste, n'était pas thésée.
Bien que tout le monde hymette.
Médée qu'elle laocon,
Voilà castor et qu'elle en radamanthe !
chant sixième
Elle crie : " Odyssée bon !... Iliade quoi mourir ! "
Ca prométhée !... J'en tircis !... C'est baucis !
Mais, je ne puis alexis
Car cela n'arrange pallas antée.
Que cérès si j'avais proserpine !
Ménélas je n'en neptune !
Alors, on nessus pas ? demandai-je.
Quand céphée, elle soupire :
" Qu'est-ce que ça minerve !... Fais moi donc minos."
" Hébé, que je fais, ç'atlas pas"
" Au contraire... surtout si tu me caresses ausi les thétis. "
Après elle saturne vivement
Et je l'hercule par troie fois sans qu'elle m'en priape.
Chant septième
Au plus fort de l'ixion, voilà qu'elle fait un pégase;
Elle vesta si vous aimez mieux.
Ce doux zéphyr bien qu'éphémère,
N'était pas parfumé osiris !
Cela sentait pluton le chloris dryade d'ammon eaque,
Elle amphion. Elle fit zeus. Elle amphitrite !
Faudrait bien ganymède un python
Dans la ligne mais diane d'éphèse
Pour forcer l'uranus à cythère !
Mais tout a une fin :
Je retire mon eupolis car je crains que son péluse.
Elle supplie : " Oreste encore... Est-ce que je thessalie ? "
" Bah ! que je lydie, ce n'est qu'un peu de mède ! "
Chant huitième
Hécate jour après mon nestor...
Je me mets à psyché des lames de rasoir.
Hellas ! Que m'avait-elle danaé là !
Que phaéton en pareil cas ?
On centaure lapithe de harpie,
On se fait des ajax io, mais ce n'est pas des sisyphe
Cela ne sert presque ariane.
Et je daphné chaque jour plus malade.
Après simoïs ou un andromède au mercure
Le mal avait empyrée
Fallait-il qu'on me la cupidon ?
Agamemnon ! J'aimerais mieux qu'on me la pinde
L'armide épire que le mal !
Passant, silène te démange,
Némésis ithaque de corynthe calchas
Ou callipyge la éole !
En fait, ça vient de Claude Gagnière dans son livre Au Bonheur Des Mots, mais je la connaissais grace à un prof qui nous l'avais cité de mémoire, et je viens juste de retrouver le texte ^^.