Le syndrome du "on est tout juste ce qu'on se pardonne", oui..
La peur de la perte des points de reperes aussi. C'est plus confortable de penser que l'on sait plutot que de savoir qu on ne sait pas.
Par ce que la connaissance de "soi" est virtuellement infinie. Le soi qu'on percoit quotidiennement d'apres les traditions orientales reprises par des gens comme Jung n'est que l'égo. Une sorte d'imposteur. Et notre attachement vis à vis de lui est une sorte de syndrome de stockolm, quelque chose comme ca.
Peut etre aussi parce que toute l'idée d'une civilisation, particulièrement chez nous, est basée sur notre capacité à nier ce que nous sommes, sur l'hypocrisie en somme. Peut etre pour ca que dans nombre de mythologies nous sommes des rebelles aux dieux, promethee, eden, etc, parce que nous n'acceptons pas et nous ne nous acceptons pas tel que nous somme.