Le jeu(enfin!).

On commence,on est tous rassemblés à Olympie pour participer aux jeux.
Au soir du 4ème jour(l'avant-dernier)les plus grands athlètes(en l'occurence nous)sont rassemblés sous une tente pour discuter de la pluie et du beau temps.On a tous déjà remporté 3 épreuves depuis le début de la semaine sacrée.Nous discutons donc lorsque dans le silence de la nuit,un gigantesque bruit éclate.Tout le monde accourt sur les lieux de la bizzarerie:les esclaves ayant assisté à la scène disent tous avoir vu une étrange lumière verte qui accompagnait le bruit,ils disaient que c'était horrible,et ça l'était:le sanctuaire de Zeus s'était évaporé,tous les prètres et pretresses avaient étés massacrés.Tout le monde criait que les dieux nous avaient abandonnés et que le monde touchait à sa fin quand Arèsbis l'un des athlètes qui discutaient sous la tente découvrit au sol un cadavre de prètre perse!C'était donc ces chiens de perses et leur dieux qui avaient fait le coup!Les athlètes qui discutaient se jurèrent de faire payer ça aux perses,et,comme ils ne se déplaceaient jamais sans leurs armes(ils les avaient emmenées à Olympie)Ils partirent le surlendemain,après avoir fini les jeux(meme si le sanctuaire n'était plus là).


Pas mal l'intro non?

Génial, un topic enfin tout propre ! Bon, je continue l'intro :


Alors que les athlètes des différentes cités s'apprêtaient à repartir chez eux, en sachant que personne ne les croirait là-bas, Arèsbis monta sur un large socle de statue et attira l'attention : "Athlètes, hommes vaillants de toute la Grèce, mes frères ! Allons-nous laisser ce crime impuni ? Nous ferons payer cet affront aux Perses. Je pense que tuer leur grand prêtre et piller les plus grands temples de la capitale les calmera un moment. J'invite tout homme prêt à accomplir ce long périple, à travers la mer Egée et jusqu'à la lointaine Persépolis !"

Ostryos de Sparte, un pentathlonien robuste qui avait remporté 3 des cinq épreuves, se présenta immédiatement et fendit la foule en direction d'Arèsbis : "Je suis prêt à partager cette aventure unique avec toi, frère !".
Feusthélénos de Délos, le coureur de demi-fond, qui avait remporté la plupart des courses à pied le troisième jour, et l'épreuve de course du pentathlon, se présenta en ces termes : "Je viens d'une patrie de marins, vous aurez sans doute besoin de mes conseils avisés en matière de navigation pour traverse l'Egée, vous autres qui ne connaissez que les plaines et les montagnesr... De plus, je suis assez endurant et discret pour servir d'éclaireur sur les vastes plaines de Perse !"
Arèsbis l'engagea immédiatement.

Ils partirent sur l'heure chercher leurs armes aux village olympique, sous les acclamations des autres champions de Grèce. Ils enfilèrent leurs cuirasses immédiatement. La force d'Ostryos lui permettait de porter une cuirasse légère, une épée, un arc et un bouclier dans le dos. L'agile Arèsbis possédait lui aussi une épée, une cuirasse, un bouclier, plus un casque. Feusthélénos reparut dans une cuirasse et une tonne légères, formées de bandes de métal entrelacées, un vouge d'une longueur et d'une acuité terrifiantes à la main.

Ils partirent d'Olympie plein d'enthousiasme, au pas gymnastique ; pour Feusthélénos, légèrement équipé, ça ne posait guère de problèmes, les deux autres quant à eux réclamèrent une pose de 5 minutes après deux heures.
"Si vous ne vous étiez pas goinfrés au banquet d'adieu, hier, aussi... Vous allez ralentir notre moyenne...
PAF
- Bon, ok, on f'arrête..."

Ils arrivèrent après quelques jours de voyage à Corinthe, cité d'où l'on s'embarque pour les Cyclades et l'Asie mineure. Avec le peu d'argent qu'ils avaient sur eux, ils purent s'acheter une embarcation capable de la traversée. Au début, Ostryos penchait pour un yacht cinq étoiles en bois précieux. Mais ce navire dépassant de plusieurs centaines de fois le budget dont ils disposaient, Feusthélénos et Arèsbis lui conseillèrent plutôt de regarder vers une corvette assez haute pour ne pas se prendre toutes les vagues sur la gueule en pleine mer, et pas trop grande pour eux trois, ça ne servait à rien sinon. Quoique, quand on voit les montagnes de bouffe qu'Ostryos est capable de nous ramener quand on lui demande de préparer des vivres, des fois...

Les trois compagnons partirent le lendemain. Le temps était clément, tout allait bien. L'embarcation était plus chargée par les provisions d'Ostryos que par les trois guerriers. Feusthélénos décida un matin qu'ils pourraient faire un détour de quelques lieues vers le sud afin de gagner les côtes de l'île de Délos. Tout le monde approuva cette idée. Feusthélénos trouvait l'idée bonne, déjà parce qu'en passant il pourrait revoir sa famille et être acclamé en héros, parce qu'il a gagné de nombreuses courses ; Arèsbis, qui aimait voyager, rêvait de découvrir cette magnifique cité portuaire dont les descriptions de son compagnon de voyage qui en était originaire l'avaient fait rêver ; et Ostryos, enfin, déclara que l'escale était vitale, à cette étape du voyage, afin de se réapprovisionner. Feusthélénos osa une réflexion déplacée ; cinq minutes plus tard, une trace de main bien rouge se dessinait sur sa joue gauche.

Vers le milieu de la matinée, ils aperçurent une épaisse colonne de fumée noire à l'horizon. Plus il se rapprochaient de l'endroit d'où elle émanait, les pourtours de l'île de Délos se dessinaient de plus en plus nettement à l'horizon, jusqu'à ce que les yeux perçants d'Ostryos et de Feusthélénos distinguent les contours des bâtiments calcinés de la cité et des navires de guerre incendiés dans le port...
A près une heure de voile vers la cité, ils pénétrèrent dans le port entre les deux tours à feu et les jetées fortifiées. Tout n'était que cendre. Une grande bataille avait eu lieu à l'évidence sur les quais de la cité : quelques soldats de Délos, ainsi que beaucoup de pêcheurs et de promeneurs innocents, qui avaient manifestement tenté de résister, une dague à la main, étaient restés sur le carreau, en même temps que... des soldats perses !

Feusthélénos se précipita à travers les rues de sa chère cité vers son doux foyer ; ses compagnons le suivirent pour ne pas le perdre. La porte étaient enfoncée, à moitié carbonisée, comme pour toutes les autres maisons. L'intérieur était dévasté. On reconnaissait toutefois dans les décombres plusieurs meubles luxueux, et la taille de la demeure témoignait également des origines aisées de Feusthélénos. Les cadavres de sa famille étaient absents. Il y avait des chances pour qu'ils soient encore en vie, seulement prisonniers. Feusthélénos pensa alors à la statue pivotante dans l'atrium : il la déplaça avec l'aide d'Arèsbis, pendant qu'Ostryos regardait si les Perses avaient laissé quelque chose dans le garde manger. Il découvrit une corbeille de pommes vapeur et de fruits séchés, alors que ses compagnons trouvèrent un message écrit à la hâte caché sous la statue. Feusthélénos reconnut l'écriture rapide de son père : "Mon fils, si le sort fait que tu trouves ce message à ton retour, voici ce qui se passe, à l'instant même où je t'écris, les Perses pillent la cité. Ta mère les a vus emmener captifs les citoyens qui n'opposent pas de résistance. Nous ne sommes pas armés, tu as emporté les armes avec toi. Ils chargent les prisonniers sur leurs navires, qui repartent en direction de l'est et de leur empire. Puissent les dieux te guider jusqu'à nous si jamais tu lis un jour ces lignes. J'ai poussé tous les verrous de fer sur la porte, mais cela ne les retiendra pas longtemps. Adieu, mon fils."

Il y avait donc un espoir pour que ses parents aient été faits prisonniers. Cela était une raison qui le motivait encore plus pour accomplir cette expédition en Perse.
Les trois compagnons quittèrent les ruines encore fumantes de la ville, reprirent leur navire et voguèrent vers l'est en ramant de toute l'ardeur dont ils étaient capables.


Waw ! Eh ben j'étais inspiré, moi !
Allez, celui qui continuera, il nous fera débarquer sur une plage avec plein d'archers sur la colline et tout et tout !

(munissez-vous d'un dé ça commence)

Après de longues heures de rame et de voiles et de poses et piratage(pour le ravitaillement d'Ostyos, qui, au grand éttonement des 2 autres ne grossissait pas plus et ne prenait pas plus de poids).Les 3 héros arrivèrent sur les cotes perses.
Feusthélénos : Ca me semble bien calme...
Arèsbis : Ca sent le piège.
Ostryos(en se munissant de son arc) : Je vais enfin pouvoir me défouler.
Tout-à-coup, une volée de flèches siffla aux oreilles des héros.
Ostryos : Chouette!
Arèsbis(en mettant son bouclier devant lui) : Idem pour moi.
Feusthélénos : chargez!!!!!!!!!!!
Ostryos encocha une flèche tandis que Feusthélénos et Arèsbis chargaient l'ennemi à toute allure.
La suite dans la partie jeu.

Bon alors il y a 5 archers(on commence facile) et on est 3.

Je tire une flèceh et je fais un 1, je ne l'ai pas touché, il me tire dessus et il fait un 3, il ne m'a pas touché non plus, 2ème archer, je fais un 2, je l'ai touché et un 1, il n'est pas mort, il riposte, il fait un 5 il ne m'a pas touché, 3ème archer, je fais un 3 je l'ai touché, et un 5, il est crévé, 4ème archer, je fais un 5, je l'ai touché et un 5, il est mort, 5ème archer, je fais un 1, il est pas touché, je sors mon épée pour charger avec vous, mais comme vous etes partis bien avant, vous avez le temps de buter 2 types avant que j'arrive, la suite c'est pour vous.Il ne reste plus que 4 archers qui sortent leurs dagues.

Correction, il ne reste plus que 3 archers.

Euh...C'est encore moi, on semettra à 3 sur le dernier quand je vous rejoindrai.

Ok !

Feusthélénos chargea un archer ; voici comment se déroula le combat :
Alors, je l'attaque avec mon épée, je fais un 5, donc je le tue sur le coup du tranchant de mon vouge sur son frêle petit crâne !

Feusthélénos remporta haut la main la victoire !
"A toi maintenant, Arèsbis" dit-il à son compagnon.

N'oublie pas qu'on se partage le 3ème.

Sur le cinquième, tu veux dire ?

J'ai tué le troisième, Flohamm fera le 4ème tout seul et on additionnera tous nos points pour le cinquième ! Ce sera un massacre !

On a oublié les points de vie.Pour mes archers, ils auraient été butés d'un coup, mais toi, il faut que tu lui en redonne un autre coup dans la gu**.

Je ne comprends pas... On a combien de points de vie, déjà ?

Nous, 6 et les ennemis, 2.Tu lui en a enlevé 1.

Ah ok ! Houlà, en effet, j'ai zappé un truc !

Ainsi, Ostryos ayant rappelé à son compagnon qu'il n'avait que blessé son ennemi, Feusthélénos revint à la charge ! Ses points d'attaque n'étant que d'un supérieur à ceux de défense de son adversaire, il devait obtenir un 5. Il lança le dé, et obtint seulement 3. Son adversaire put ainsi riposter. Il devait faire un 6, pour espérer pouvoir toucher Feusthélénos ; il fit un 1. Le combat était acharné. Feusthélénos rejeta le dé dans l'espoir de faire au moins 5, mais n'obtint qu'un 2. Son adversaire le visa et eut 2. Feusthélénos relança le dé et eut 1. Son adversaire fit un 2, ce qui ne lui permettait pas de toucher le guerrier de Délos. Celui-ci rappliqua, obtint 4 ; l'archer Perse fit un 3. Feusthélénos fit ensuite un 1, et le Perse un 2. La chance n'était pas à l'ordre du jour, pour l'un comme pour l'autre. Feusthélénos obtint ensuite un 2, le Perse aussi. Puis le premier fit 1, et le second 2.Tain mais il marche pas, mon dé, aujourd'hui... Feusthélénos retenta sa chance. Le dé fut cassé et laissa apparaître un 2 ; par malheur, le Perse obtint alors un 6 : il avait touché Feusthélénos ; encore un 6, et il le blesserait ; il fit un 6 ! C'est vraiment pas mon jour... Feusthélénos, bien que blessé, était déterminé à tuer ce sale Perse. Il fit un 4 ; son adversaire obtint un 3. Il eut enfin un 5 ! Son adversaire était mort. Enfin...
Feusthélénos soulagea le cadavre de l'archer Perse de son arc et de son carquois, encore à demi-plein.

Voilà ! Bilan : un troisième archer de tué, un arc de récupéré, mais je n'ai plus que 5 pts de vie. Est-ce qu'il est possible d'en récupérer ?
Bon, donc Christophe fera le quatrième, et nous nous mettrons tous les trois sur le dernier !

Pour les récupérer, c'est à chaque qu'on entre dans une ville ou qu'on en pille une, on récupère, à part si la ville est en guerre, dans ce cas là, il faut gagner la guerre pour récupérer, t'as de la chance, il y a une ville portuaire à 2 miles de là et juste une dizaines de gardes entre temps.

christophe voyant Feusthélénos en prendre pliens la tronche se lance dans la mêler taiauuuuuuu !!!!!!! hooooo heu.... mince se dit il ..... j'ai pas de dés (je suis au boulot) .... arf .

(on fé komment ??)

Eh ben, ce soir quand tu rentre, tu prends un dé et tu viens jouer.

jcapte un kangourou aquatique

Ho, c'est terminé ces messages là ?

Steuf a écrit:

Oui, Ting, calme-toi un peu, si les Gordons ont trop déteint sur toi, avertis-m'en immédiatement, je me ferai un plaisir de traiter ton cas. Prends ceci comme un avertissement, s'il te plaît. Comme le dernier.

voyez vous, ce jour-là, Feust était en colère... c'est si rare de nos jours (et on ne s'en plaint pas! )

Eh oui, ça m'arrive plus souvent que vous pourriez le croire !